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Nos photographes


André BARRAT

Retour vers le passé

Je vous présente une série de quinze portraits du passé en couleur et en noir et blanc. Les acteurs de ces photos sont des personnes qui, le temps d’un weekend et à l’occasion de fêtes ou de rassemblements historiques, nous font revivre des évènements ou des époques de notre histoire.
Les prises de vue ont été « studiorisées » en éliminant les fonds d’origine. Ensuite ce sont les regards et les belles tenues d’époque qui ont inspiré ma sélection.


Jean-Claude BERTRAND

Le nez dans l'herbe - jcbertrand.fr - Facebook - Instagram

Après avoir parcouru plus de 40 pays à travers le monde à photographier les populations et les paysages, je me consacre aujourd'hui à la macro/proxy photographie.
Capter la finesse de la nature en me rapprochant au plus près de ses créations, voilà une passion qui m’anime depuis plusieurs années. Sans être botaniste mais artiste et technicien de l’image, je poursuis sans cesse ma recherche, en toutes saisons, afin d’ajouter de nouveaux tableaux à ma collection La lumière et la faible profondeur de champ détachent les sujets sur des fonds flous et fondus. Les couleurs pastel donnent plus d’importances aux images. Je m’intéresse plus particulièrement aux fleurs sauvages, celles que l’on trouve sous nos pieds, sur les chemins de randonnées, dans le PNR de la Brenne ou sur le plateau du PNR de l’Aubrac.


Nathalie BODZIOCH dite TALIA

Touche de rouge - imaginationoftalia.wordpress.com - Instagram

La photographie a toujours été une part indissociable de ma vie depuis mon enfance. Bercée par l’atmosphère créative d’une famille de photographes amateurs, j’ai développé un amour profond pour cet art qui capture des moments éphémères et les transforme en souvenirs intemporels. Depuis mes premiers pas dans le monde de la photographie, j’ai trouvé une source infinie d’inspiration et de joie à travers l’objectif de mon appareil. La recherche constante de la beauté dans les détails du quotidien m’a amené à explorer différentes techniques et styles photographiques, élargissant ainsi ma perception artistique.

Touche de rouge

Symbole fort, le Rouge est la couleur à la fois de l’honneur et du danger, mais aussi de l’émotion. C’est l’extrémité du spectre solaire ; ce Soleil qui produit la lumière et la chaleur qui permettent la vie sur Terre. Cette énergie provient du cœur de l’étoile.

Le Rouge s'associe à la vitalité, la vigueur, l’instinct combatif et ses tendances agressives, Seth, le destructeur, est le dieu Rouge de l'Égypte ancienne, la pulsion sexuelle, le désir amoureux, la passion, le besoin de conquête…

C’est la couleur du sang, du métal incandescent, du feu : Le phénix, dérivé du mot pourpre, qui brûle et renaît de ses cendres.


Pierre BOILEAU


Annick BOMPAYS

Gorilles des montagnes

Depuis ma plus tendre enfance, j’ai nourri une passion impérissable pour les gorilles, rêvant secrètement de pouvoir un jour les observer de près. L’Ouganda a été la destination magique où ce rêve a finalement pris vie. Lors de cette aventure inoubliable, j’ai eu l’immense privilège d’approcher ces gorilles, de capturer les expressions de leur regard et même de communiquer avec eux.

Chaque cliché que vous découvrirez ici porte l’empreinte de l’émotion qui a enveloppé ces instants précieux. Chacun d’entre eux est une histoire en images, une immersion dans la vie quotidienne de ces magnifiques géants, les Dos Argentés.

Cette exposition n’est pas seulement le fruit de mon intérêt pour la photographie, mais aussi le témoignage des splendeurs de la nature et l’impact profond que les rencontres avec des espèces comme les gorilles peuvent avoir sur notre perception du monde.

Parcourez ces images avec votre cœur grand ouvert, à ressentir l’essence même de ces gentils géants et à vous laisser transporter dans leur univers, comme moi-même je l’ai été lors de cette aventure extraordinaire.


Michel-Jean BOSSU

Paréidolies - michelbossu93.wixsite.com - Instagram -

J’ai réfléchi longuement à cette idée du « pourquoi j’aime la photographie ? » alors que tant d’autres ne se posent même pas la question.

Lorsqu’on prend une photo, toutes nos pensées et notre attention sont dirigés sur ce qui se passe dans le ici et maintenant, Le Moment Présent. Elle nous invite à ralentir, à prendre le temps, d’ouvrir nos yeux et de porter attention à notre environnement. Un environnement qui nous paraissait bien banal devient soudainement extraordinaire.

Passionné par la photographie depuis mon adolescence, j’ai enfin franchi en 2010 en m’achetant mon premier reflex.

Puis comme je ne savais pas trop quoi photographier je me suis inscrit a un club, puis un autre, j’en suis à mon cinquième ainsi petit à petit je me suis perfectionné tant dans la prise de vues que dans le post-traitement.

Ayant un petit faible pour la photo industrielle en noir et blanc et pour la photo de rue je m’amuse beaucoup en me baladant dans les rues en faisant des portraits de passants inconnus.

J’ai très souvent mon appareil avec moi, ce qui me permet de faire la photo in situ ! Il me semble qu’il faut être passionné, humain et rester dans la transmission de l’émotion, ce qui est essentiel à ce travail.

Mais le plus beau bienfait de la photographie est, selon moi, qu’elle vous invite à vous exprimer. Exprimer en images ce que l’on ressent de l’intérieur.

Source : www.promenadeartistique-molineuf.com


Jean-Luc BOULAND

Lectures intimes - Instagram -

 

En 1989, travaillant alors comme journaliste-photographe en Ile de France, je prends conjointement ma première adhésion à un photo club et à une Société des Beaux-Arts, où je m’initie à la pratique du studio. Une révélation : à côté des prises de vue réalistes de l’actualité, je peux utiliser mon esprit créatif. La photographie est pour moi un moyen d’expression et de communication à part entière, pour faire découvrir le monde et ses beautés, réelles ou imaginées. Les premiers travaux intéressants apparaitront en 1991, et permettront quelques temps plus tard d’obtenir des prix dans différents salons collectifs, comme de faire des expositions personnelles. Des activités que je poursuis depuis mon retour dans l’Orléanais en 1996, avec un intérêt privilégié pour la photo en studio, pour les compositions (natures mortes), ou proposant des ateliers de « thérapie par la photographie ».

Les Lectures intimes

Depuis 2021, estimant que « dans mon studio, tout le monde est beau », j’ai entrepris le projet Sublimes différences, comptant plusieurs séries thématiques, pour valoriser le « Sois toi » et non le « Sois belle/beau et tais-toi ». Ouvert à toute personne de plus de 18 ans, il veut illustrer que la beauté est en chacun de nous, et que c’est au photographe à savoir la révéler, car toute personne est unique et s’apprécie dans sa différence, sans être associée à un stéréotype qui ne peut lui convenir. Qu’importe son âge, son physique, son sexe, son origine ou ses choix de vie.

Intitulée Lectures intimes, la série principale de ce projet que je propose de présenter en 2025 à Romorantin s’appuie sur une argument simple :

« Quand un livre passionne, qu’importe la tenue ! Quand il n’y a personne, qui verra qu’on est nu.e ? » .

Elle consiste en une suite de portraits (format 30x45) représentant une trentaine de personnes différentes, âgés de 33 à 72 ans, hommes et femmes, sans distinction de physique, dans l’intimité de la lecture, en nudité « soft » partielle ou totale. Elles sont originaires d’Indre et Loire, du Loir et Cher, du Loiret, du Cher, voire de région parisienne.

Pour chacune de ces personnes, aux professions très diverses, un texte sera accoté aux photographies présentant le parcours qui les a amenées à poser. Pour certaines, la photographie est un moyen de sublimer ou dépasser des accidents de la vie (maladies, interventions chirurgicales,.. .)


Marie-Christine BRABANT

Arbres 

J'ai commencé la photographie en 2005 avec l'arrivée des premiers reflex numériques. Passionnée, j'ai très vite intégré le club photo "Phocal" d'Allauch afin d'améliorer ma pratique. L'humain, la nature sont mes sujets privilégiés. Pour construire mes séries, je n'hésite pas à jouer, en fonction de mon inspiration, avec les nouvelles possibilités offertes par le numérique. Ma recherche se porte très généralement uniquement sur les couleurs ou plus exactement sur la variation chromatique. Plus que la restitution fidèle du réel, j'aime que mes images aient une dimension onirique et imaginaire.

ARBRES

L'arbre symbole de vie qui relie le ciel et la terre peut apparaître comme le pont entre une réalité concrète et une réalité spirituelle.

Majestueux , angoissant ou féerique l'arbre a toujours été une grande source d'inspiration. Certaines images s'éloignent volontairement de la réalité pour introduire le merveilleux. La lumière, la couleur, la forme nous entraîne dans un univers fantastique perdu loin de nos repères.

Cette nature revisitée est une invitation à rêver.


Christian CAPRON

21ème parallèle sud - photos-argentique.fr - Facebook - Instagram

Christian Capron a découvert sa passion pour la photographie à l'âge de 14 ans. Dès l'année suivante, il réalisait ses premiers tirages en noir et blanc, à une époque où la photographie numérique n'existait pas encore. Aujourd'hui installé sur l'île de La Réunion, Christian persévère dans le tirage argentique en chambre noire. En tant que photographe et tireur de ses propres photos, il perpétue la tradition ancestrale de cette photographie. Il prépare ses propres produits de tirage papier, aIinant sans cesse sa technique. Christian dit souvent : "Je travaille doucement et patiemment dans un monde où tout va vite." Cette philosophie se reflète dans chacun de ses tirages, qui sont soigneusement numérotés et produits en séries limitées. Son travail se concentre sur les gens et les lieux qu'il rencontre lors de ses explorations photographiques. Ses oeuvres ont été exposées dans divers lieux en France, comme Montpellier et La Gacilly, et ont trouvé des acquéreurs en Allemagne, Autriche, Italie et Suisse. Christian Capron continue d'améliorer sa technique de tirage et est fier de perpétuer la photographie argentique et son savoir-faire traditionnel. Ses oeuvres peuvent être admirées à son atelier/galerie à Saint-Leu, sur l'île de La Réunion.

21ème parallèle sud

Bien que situées toutes deux sur le 21ème parallèle sud, la Namibie et La Réunion offrent des expériences totalement distinctes. La Namibie séduit par ses vastes déserts, tandis que La Réunion enchante avec ses paysages volcaniques luxuriants et ses habitants .
Ces deux destinations sont des trésors de contrastes pour un voyage photographique, où chacun trouvera quelque chose de fascinant dans ces terres si différentes.


Elisabeth CHELOT

Miroirs d'eau et de verre

Issue de la recherche scientifique, j’ai été formée à l’imagerie. J’ai acquis des milliers d’images au microscope. Mon œil n’a regardé pendant des années, que dans un oculaire. J’ai maintenant raccroché ma blouse d’ingénieur, abandonné la microscopie et retrouvé le viseur de mon appareil photo. Mon œil n’est pas déshabitué au focus rapproché. Le détail m’attire toujours, je fais abstraction des champs larges, des grands angles.

La proxi-photographie surtout, la macrophotographie aussi sont mes terrains de prédilection. Le zoom à la prise de vue, le recadrage en post acquisition sont mes outils préférés. Bien sûr nous sommes à l’ère du numérique et du traitement d’images, alors j’en use mais n’en abuse.

Henri Cartier-Bresson (photographe 1908-2004) a dit « En photographie, la plus petite chose peut être un grand sujet, le petit détail devenir un leitmotiv ». Je ne peux qu’adhérer à cette pensée. Ma démarche est ainsi. Un élément extrait de son environnement m’a interpellée, élément que je décline et qui donne naissance à un thème. Une série se prépare.

J’aime que l’objet sorti de son contexte raconte une autre histoire. J’aime mettre en exergue sa beauté et en faire une jolie image. J’aime trouver beau ce qui ne l’est pas aux yeux de tous. Mes thèmes sont multiples et divers, et m’incitent toujours à enrichir les collections au fil du temps, au hasard des chemins. J’accumule puis je classe je trie et enfin je choisis le support le plus approprié pour l’impression. Et au final je les expose sur les murs en espérant vous séduire.


Christian CHERPENTIER

Songes éveillés - Facebook - Instagram

Dans une autre vie déjà, tout près de l’océan, je dessinais, peignais, photographiais et j’écrivais des poèmes, des nouvelles et des contes que j’abandonnais le plus souvent aux vagues.
Puis, poussé par mes obligations professionnelles, je suis parti pendant de nombreuses années, vers d’autres rivages, d’autres mers et continents.  Je suis revenu au bord de mon Atlantique, j’y ai retrouvé mes crayons, mes pinceaux et quelques feuilles jaunies…
Alors j’ai tendu la main vers eux et j’ai constaté qu’ils m’avaient patiemment attendu pendant toutes ces années. J’étais revenu avec quelques nouveaux instruments que j’avais croisés et apprivoisés en chemin. Je les présentais timidement à mes vieux outils. Les présentations furent brèves et le courant passa immédiatement entre eux pour une fructueuse collaboration…


Karina DELBOS

Plumes - www.karina-delbos-photographe.com - Instagram

Grandir dans les prairies. Grandir dans les marais. Sauter plus haut que les criquets. S’envoler sur le dos d’un oiseau.

Aujourd’hui encore, au cœur de cette nature, je rêve. Je me réalise, j’existe, ma réalité est là.  Je photographie.
S’allonger dans l’herbe encore humide de sommeil.  Regarder les perles de rosée, s’égoutter des fleurs alanguies. Sourire au petit peuple de l’herbe encore endormie. S’émerveiller, de cette vision onirique, d’un microcosme si fragile. Je photographie.
S’effacer du regard dans un affût flottant. Liberté de mouvement, sans déranger. S’inviter dans ce monde libre et sauvage. L’apprendre, pour mieux le comprendre, le respecter.  L’aimer, l’aimer plus encore, le rêver, le réinventer. Se délecter de chaque instant, avec un cœur d’enfant. 
C’est cette histoire, que je veux raconter.


Morgane DESORT

Alter ego - peuple de la forêt - morgandesort.com - Facebook - Instagram

Je ne suis qu’un simple individu mâle adulte de l’espèce homo sapiens, plutôt farouche mais inoffensif. Mon territoire se trouve principalement en Isère et dans le Vercors après avoir grandi à moitié dans le béton lyonnais et à moitié dans les campagnes plus à l’ouest. Je fais quelques incursions dans d’autres zones plus ou moins lointaines pour rencontrer des individus d’autres espèces et tenter de trouver mon reflet dans leurs miroirs, ou pour contempler les autres merveilles que la nature nous offre, m’apportant une nourriture spirituelle essentielle.

ALTER EGO

Par cette exposition j’ai à cœur de replacer l’orang utan (homme de la forêt) — mais aussi en réalité n’importe quel être vivant — à sa juste place à côté de l’humain : un autre, différent, mais avec les mêmes droits fondamentaux. Ces photographies, réalisées sur l’île de Bornéo, montrent ces êtres tantôt dans leur milieu naturel, tantôt en interaction avec le milieu humain dans des centres de soin en vue de leur réintroduction dans la nature.


DUPONT-ROGER Frédéric Emmanuelle

 


Patrick FORGET, Invité d'honneur

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Vanessa FORGET

Déambulation - FacebookInstagram

Photographe portraitiste basée en Normandie, portraitiste de France et MQEP (Master Qualified European Photographer), Vanessa est spécialiste du portrait en studio. Grâce à l’acquisition d’un Leica, petit et discret, son « petit bijou » qu’elle peut emporter partout pour prendre des clichés de tout ce qui lui passe sous les yeux, elle retrouve les sensations de ses premiers amours, le photo-reportage.
La photo de rue, la photo de l’instinct et de l’instant. La rue, comme une école buissonnière.

Déambulation, du verbe « déambuler » qui signifie « marcher sans but précis, selon sa fantaisie ».
Déambulations, l’objet de mon travail que je souhaite partager avec vous. Parce que c’est justement « sans but et avec fantaisie » que j’ai pris ces clichés. Avec Déambulations, j’ai posé un regard différent sur les objets, la ville, la campagne, ce qui est issu de la main de l’Homme mais aussi ce qui est naturel. J’ai souhaité regarder autrement et transposer le réel afin de vous donner à voir à nouveau et différemment, à réinventer, à réfléchir et questionner des choses que nous avions cent fois vues auparavant. J’ai souhaité reconsidérer le réel qui se métamorphose selon le temps, la lumière, l’angle, l’instant. Donner à observer ce qui n’existe pas vraiment ou imaginer les choses, les formes, les couleurs, les lignes différemment de ce qu’elles sont dans la réalité.

Avec Déambulations, j’ai tenté de vous faire perdre vos repères. Aussi concret et connu que peut être l’objet pris en photo au départ, mon point de vue, mon regard m’ont poussée à déstructurer, à repousser les limites de la compréhension de ce que vous êtes en train de regarder.

Ne l’oubliez pas ! La réalité revisitée peut être un véritable jeu de leurre. Et si vous croyez voir ou reconnaître quelque chose de précis alors que vous faites fausse route, j’aurais atteint mon but !


Pierre FOUSSAT dit PIC

Simplement regarder et voir autrement - pic-images.photos

Mes images sont toujours créées à partir d’une photographie. Les inspirations sont nombreuses, tout peut être sujet à un nouveau travail de création. Mon histoire avec la photographie a commencé à l'âge de 11 ans lorsque je fais mes premiers clichés avec l'appareil photo familial. Puis à 15 ans j'installe dans le cellier un labo photo argentique noir et blanc, dans lequel je vais passer des jours voir des nuits à faire des développements et des tirages.
C’est bien plus tard, en transférant ma photothèque diapos 24x36mm sur support numérique et en cherchant un résultat toujours plus proche de l’original analogique que j'ai réalisé que je pouvais modifier mes photos et obtenir un tout autre résultat qui m'a interpelé et fasciné. C'est alors que j'ai élaboré un processus qui m’a permis de « jouer » avec mes photos et a fait naître mes premières images...
Puis c'est de façon presque obsessionnelle que je me suis mis à triturer les pixels, saturer les lumières, les couleurs, jouer avec les températures jusqu’à la naissance d’une œuvre. Un « burn out » et une difficulté à m’exprimer de façon traditionnelle vont accélérer mon énergie créative.

C'est volontairement que mes images n'ont pas de nom. Mes créations sont complètement libres, mais toujours concentrées sur l’émotion.
Le public aime parfois rattacher mes images à des univers culturels identifiés ou à en trouver l'origine, comme pour se rassurer, c'est à chacun d’y voir ce qu’il veut. Je vous invite à vivre votre propre vagabondage, à travers mon univers juste à l’écoute de votre ressenti ...


Fabien GUITTARD

Les Géants de Kuertunturi - fabienguittard.photography - Facebook - Instagram

Auteur photographe français, j'explore inlassablement les paysages qui nous entourent à la recherche d'instants magiques, de lumières marquantes et d'expériences uniques. J'apprécie les grands espaces naturels, où l'homme se fait discret et où les éléments semblent être restés ou redevenus sauvages. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai commencé à photographier pour retenir et conserver les souvenirs de ce que je découvrais et vivais, pour pouvoir ramener dans le présent un peu de ces émotions passées. En collectionnant quelques fragments de ces émotions, j'essaie de partager avec vous cet émerveillement pour notre monde, qui nous relie les uns aux autres.

Les Géants de Kuertunturi

Raquettes aux pieds, je gravis dans le seul bruit de mes pas sur la neige profonde les quelques centaines de mètres de dénivelé qui m'emmènent de la forêt lapone au sommet de la colline de Kuertunturi, en Finlande.

Nous sommes au cœur de l'hiver et la température est descendue autour de -25°C. Le vent souffle relativement calmement mais il est vif et bien présent. Il fait doucement scintiller la neige, dans un sifflement presque imperceptible. Depuis des mois il balaie ce paysage immaculé et a progressivement emprisonné ces arbres dans leur gangue de neige et de glace

Figés, engoncés, suspendus pour l'hiver dans leurs mouvements, chacun se transforme en une silhouette curieuse et fantomatique

Je déambule humblement, courbé comme eux pour me protéger du froid, mon imagination se promenant plus vite que mes pas lourds. Et j'observe le jour descendre lentement derrière l'horizon, jusqu'à ce que la nuit s'installe. Puis enfin la lune se lève et alors les ombres se mettent à nouveau en mouvement, tout semble reprendre vie dans un silence duveteux qui, je ne sais comment, me fait oublier le froid.

Un moment fragile qu'un simple redoux balaiera bientôt, car ici comme ailleurs les hivers sont de plus en plus courts, et cette poésie lapone devient toujours plus fugace.


Hermine LECUCQ

Eternelle - herminejouanphotography.com - Instagram

Je suis née en 1973 en France en banlieue parisienne au sein d’une famille d’artistes. J’ai suivi des études universitaire d’océanographie et a poursuivi ma carrière dans cette voie. La photographie a toujours été présente à mes coté mais c’est en 2018 avec ma première exposition en galerie que je prends la mesure de l’importance qu’elle a pris dans ma vie. Mes racines ont fini par remonter à la surface, la photographie devient alors mon moyen d’expression artistique. Je m’intéresse alors à la photographie infrarouge et expose mes premières oeuvres dans le off de Arles en 2019 Les temps suspendus qui ont suivis m’ont permis d’approfondir le sujet de la relation entre la nature et l’homme. Quelle est sa place dans cet univers, que se passe-t-il quand il essaye de le dominer ou quand il en disparait ?
C’est en 2021 après cette visite du site de Tchernobyl que je décide de travailler sur une nouvelle exposition et un nouveau livre : Eternelle
Début 2023, je ne me consacre plus qu’à la photographie et je deviens photographe professionnelle. Mon quotidien oscille alors entre mon emploi de photographe de portraits et de famille et le développement de mes projets artistiques plus personnels.

ETERNELLE
Vision d’un monde futuriste où l'homme après avoir contraint et asservi tout ce qui l'entoure et plus précisément la végétation, disparait soudain. Forte de mon expérience photographique sur le site de la zone d’exclusion de Tchernobyl en Ukraine en 2021, soit 35 ans après la catastrophe nucléaire , je témoigne de la reprise de la nature sur les ruines laissées par les Hommes. Eternelle imagine ainsi un monde futur où, petit à petit , les vestiges humains disparaissent , balayés par les éléments . L’arrivée d’une nouvelle ère glaciaire remet les compteurs à zéro. Ce n’est pas une vision catastrophique ou apocalyptique du monde où l’homme n’est plus mais où l'homme fait partie d‘un vaste ensemble en

interaction avec les autres espèces et comme une espèce parmi d'autres , s’éteindra un jour et laissera la place à d'autres espèces et à d’autres échanges. La Vie continue, éternelle.
La méthode de prise de vue photographique en infrarouge fait apparaitre la végétation sous des couleurs étonnantes tantôt chatoyantes tantôt d'un blanc neigeux, comme les stigmates de l’homme sur son environnement.


Yves LEFLOCH

Vie de femme

Ayant toujours aimé le contact, la découverte, et l'imprévu des lieux qui procurent des rencontres insolites, une « ambiance humaniste », c'est ainsi que j'ai été amené à réaliser des séries, en couleur : Ambiance Bistro, Ambiance Brocante, Ambiance rue Poulmarch, Ambiance Lecture.

J’ai également réalisé, en monochrome, une série : « Vie de Femme » illustrant les différentes étapes de la vie de la femme, à travers des personnes de tous les continents.


Francis LEROY

Sable mouvant, songe de plage - www.imag-in-air.com - Facebook -

Des vagues qui déferlent à marée basse sur la Grande Plage de St Gilles Croix de Vie vues du ciel. La ligne verte d’une haie qui ondule entre un champ jaune de colza et un champ bleu de lin en Deux Sèvres. Une plate qui vient rompre l’alignement des bouchots à la Pointe d’Arçay.

Cette jeune fille newar coiffée d’une plume de paon qui fête son mariage avec le soleil (Bara Tayegu) dans un temple de Bhaktapu. Le sourire de cette jeune birmane dans la pagode de Shwedagon. Ce serin cini qui se pose sur une branche devant ma porte fenêtre.

Ma quête inassouvie de la beauté

Sable mouvant, songe de plage

La plage, frontière entre terre et mer, subit constamment les assauts quotidiens des marées et les vagues de vacanciers saisonnières.

La plage est le témoin vivant du changement climatique.

Le sable mouvant au gré des flux et reflux des marées attire toujours plus une humanité passive et insouciante.

Bientôt de la plage il ne restera plus qu’un songe.


Thierry LETHUILLIER

Portraits marqués - Facebook -


Photographe depuis 2018, j'ai une passion principalement pour la photo de nature, la photo de rue, le studio et le portrait. Ma démarche photographique m'a amené à travailler sur différents thèmes d'exposition, notamment sur des Portraits Marqués, où je souhaite mettre en valeur la personnalité de modèles aux forts traits de caractères. Loin des portraits lissés avec des modèles ou du nu artistique, que je pratique également, ici, je souhaite amener le lecteur à une rencontre entre deux regards, celui du visiteur et la réalité de la vie qui passe sur chacun de nous, et qui laisse parfois une emprunte bien lisible. Je tente de faire ressortir un aspect différent de la beauté de l'Homme, d'abord par un travail humain, d'approche de la personne que j'ai envie de photographier, de confiance également car ce n'est pas simple de se livrer devant l'objectif, c'est souvent aussi très intime, la construction du portrait qui m'apparaît souvent avant la première rencontre, puis de sa réalisation, par la technique de prise de vue, la retouche photo, et enfin l'impression sur papier d'art.

L'idée de cette exposition est de réussir modestement, à se faire croiser quelques regards, à une période que je trouve compliquée dans le rapport entre les Hommes.


Allan L'HERITIER

Un hiver en Chartreuse - www.allanlheritier.com - Facebook - Instagram

Photographe de paysages et avant tout voyageur, je suis né et j’ai grandi dans les Alpes, au cœur du massif de la Chartreuse. Ma passion pour la photographie s'est nourrie de la beauté des paysages observés lors de mes voyages à travers le monde.
Habitué aux terrains difficiles (Alpes, Groenland, Pérou, Islande...), je n’hésite pas à partir en autonomie complète pendant plusieurs jours, voire des semaines, pour explorer de nouveaux territoires et découvrir des points de vue inédits. En tant que photographe de paysage, on me demande souvent : « Est-ce la montagne qui vous a conduit à faire des images, ou la photographie qui vous a amené vers les montagnes ? »

Ma réponse est presque évidente : c’est la photographie qui me pousse à passer plusieurs jours en montagne et à gravir des sommets. Sans elle, je ferais probablement moins de randonnées. En somme, c'est le voyage qui m’a mené à la photographie, et la photographie qui m’a guidé vers les montagnes. Outre l’exploration et la prise de vue, mon travail inclut le développement de mes images pour transmettre ma vision personnelle, en cherchant un équilibre entre esthétique et réalisme.

Photographe professionnel depuis 2015 sous statut d’auteur, j’ai eu l’honneur d’être finaliste ou de recevoir des mentions dans de nombreux concours de photographie de nature, à l'échelle nationale et internationale.


Pierre MILLERIOUX

Facebook 

Passionné par la photographie depuis plus de 15 ans, j'aime ce côté magique de figer une action et d'essayer de faire ressortir toutes les émotions. Mes centres d'intérêts sont la photo animalière, la photo N&B et la photo de rue.

Le club photo ACAPI (Ingré) dont je fais partie depuis 10 ans, m'a permis d'évoluer et de progresser, grâce aussi aux Acapiens reconnus pour la qualité de leurs travaux photographiques.


PAPPALARDO Frères

 A deux pas du vide - lesfreresdesbois.com - Facebook - Instagram

Nous sommes deux frères, deux solitaires ensemble, Julien et Clément PAPPALARDO, certains même aiment à nous surnommer « les frères des bois », ce qui en soit, nous va plutôt bien. La nature, les richesses qu’elle nous dévoile, nous a toujours fasciné. Depuis notre plus jeune
âge, elle a su nous émerveiller et développer notre imaginaire. Petits-fils et fils de pêcheurs d’un côté, bricoleur de l’autre, ces héritages associés nous ont fait découvrir le sauvage dans un premier temps, et comment se dissimuler pour mieux le rencontrer, dans un second temps.
Nos premières images, ces premiers souvenirs palpables, preuves incontestables de nos aventures et de nos rencontres sauvages, ont aidé à faire naître ces passions, parfois dévorantes, pour la biodiversité et pour la photographie.

Comment définir notre passion ?
Chasse photographique ? Photographe animalier ? Photographie nature ? C’est en réalité peut-être plus complexe ou même plus simple ; il ne s’agit ni d’une traque ni d’une course aux trophées et bien moins encore d’une course à la coche naturaliste.

Chauffeur-livreur en Corrèze pour l’un, garde gestionnaire en réserve naturelle nationale dans les Bouches-du-Rhône pour l’autre. La photographie naturaliste est notre passion/quête commune depuis plus de 17 ans.


Anthony THENAISY

Disparition - www.anthony-thenaisy.com - Facebook

Âgé d’un peu plus d’une vingtaine d’années, j’achète mon premier appareil et alors photographie régulièrement ce qui m’entoure, comme une église effacée derrière le feuillage d’un arbre. Petit à petit le thème de la disparition s’impose à moi et j’en viens à m’intéresser aux traces, au vide, au travail qui s’en va, au flou...
Des photographies, tant en noir et blanc qu’en couleur, qui tentent de questionner la place des espaces naturels dans notre monde. Des images souvent floues pour évoquer la disparition, celle du vivant en particulier. Des paysages qui disparaissent pour partie à la prise de vue. De manière à écrire un autre récit. Ici une ligne d’horizon viendrait casser en deux la matière sombre d’un boqueteau. Là ce seraient des aulnes qu’une pâture de chicorées sauvages parviendrait à engloutir. Ailleurs des champs de blé qui finiraient par se fondre avec le bois abîmé d’une grange et, sur le côté, une moissonneuse qu’on dirait caravelle, portée par le brouillé des noirs et des blancs. D’autres arbres encore, peut-être des acacias, dont on ne saurait plus où sont les troncs, les branches, traversés de l’arrière par une lumière de fin de journée qui efface, et ce serait comme un feu qui commence, indéterminé, ténébreux.
La condition humaine et le rapport de l’individu à l’espace sont des thèmes récurrents de mon travail. Les femmes et les hommes sont souvent représentés dans des plans larges se concentrant sur leur absence ou leur présence lointaine. Je photographie des paysages où se rencontrent monde naturel et monde construit. Sensible au récit, j’explore les frontières entre la fiction et le documentaire dans des images avec une dimension politique sous-jacente. La relation complexe entre l’homme et la nature est aussi centrale.
Tout en maintenant une distance certaine avec leur sujet, mes photographies sont la résultante d’une tentative qui se veut avant tout ambiguë, sans message clair, laissant la place au hasard. Elles s’intéressent également au logement, à la migration et à la pression exercée par l’homme sur nos écosystèmes.


Jean-Marie VIRAT

Blues - jeanmarievirat.com - Instagram

Je pratique la photographie depuis toujours. De l'argentique, et en passant par le labo pour le noir & blanc, jusqu'à la fin des années 90 j’ai basculé sur le numérique dans les années 2000. À partir de 2008-2009 mon activité photo a pris un rythme plus soutenu : grâce aux réseau sociaux j’ai trouvé un public. Quasi autodidacte j'ai suivi un cours de la Ville de Paris sur une année (1999-2000) et participé à quelques stages.
En 2014 je me décide à proposer une première exposition. Depuis j'en réalise régulièrement.

Mon travail est essentiellement esthétique, en couleurs, urbain et graphique, sans dimension « reportage » ou « témoignage ». Les matières et les lignes me fascinent et elles sont primordiales dans l'organisation de mes travaux, qui parfois s'approchent du minimalisme. Ils ne le sont jamais, mais ils s'apprécient souvent comme on aborderait une œuvre abstraite. Les humains sont souvent absents ; quand ils ne le sont pas c'est généralement pour soutenir un message issu du graphisme, pour donner vie à un univers très structuré. Je photographie surtout lors de mes déplacements et voyages. Je réunis souvent mes séries autour d'un élément formel, de ce fait ces dernières peuvent provenir des quatre coins du monde.
Mes maîtres : en première place un peintre, Paul Klee. Côté photo : Manuel Alvarez Bravo, Saul Leiter, Harry Gruyaert...

BLUES

Blues ? Des bleus ? Pourquoi ? Je ne suis moi-même pas sûr de savoir y répondre. Les bleus m'émeuvent. Est-ce comme le bleu de Miro, ce bleu qu'i a travaillé jusqu'à nous offrir sa série ? Mais aussi le bleu de l'introspection. Bleu de la mer et du ciel, bleu de l'infini, l' ouverture. Le bleu d'un ciel puissant, ensoleillé. Couleur chaleureuse bien que classé (conventionnellement) parmi les froides. Bleu profond.
Sur cette série, cette variation, un, des bleus jouent un rôle essentiel dans l'histoire que chaque photo essaie de nous raconter. Ils peuvent se faire discrets ou occuper tout l'espace. Ils peuvent être unique couleur, ou jouer avec leurs complices que sont le rouge et le jaune. Comme souvent mes photos, certaines de cette série se lisent comme des œuvres abstraites, bien qu’elles ne le soient jamais.
Petite série en provenance des quatre coins du monde, qui vient nous rappeler que l’on peut trouver de la cohérence dans la diversité.


Thierry VOGENSTAHL

Saint Pierre et Miquelon

C’est dans un archipel lointain que nous emmènent Thierry et Nadine VOGENSTAHL. Un petit bout de France émergée au large de l’Amérique du Nord : Saint Pierre et Miquelon. Pendant 20 ans la richesse de la faune marine des 2 îles fut leur terrain de jeu photographique. De leur balade familiale en pleine mer, ils capturent des images saisissantes de baleines, dauphins, phoques, oiseaux, … toutes plus captivantes les unes que les autres. Leur engagement envers la nature et la photographie les a conduits à partager leurs expériences à travers des publications, des expositions et des médias télévisuels. Whalecome, préfacé par Jean-Louis ETIENNE, est un beau livre de plus 500 clichés où l’on découvre tous les mammifères marins que l'on peut rencontrer dans les eaux de l’archipel mais aussi les paysages des 2 îles, les plantes, les oiseaux, les tortues Luth. De ce livre sont extraits les clichés qui seront présentés

Les expositions


Jean-Pierre ILIOU

Camera Oscura

Promenade ludique et interactive avec quelques appareils photos des temps anciens

  • Intéresser et divertir un large public de tout âge en lui faisant manipuler des appareils photos des temps anciens en bois (chambres d’atelier) permettant à chacun d’effectuer des prises de vue numériques avec son smartphone personnel
  • Appréhender les principes fondamentaux de la photographie en manipulant des camerae obscurae (chambres obscures) portatives donnant l’occasion à tout un chacun (petits et grands) de les tester en déambulant entre les allées du Printemps 2025
  • Présentation de divers appareils photos et accessoires de ces temps anciens pour comprendre l’évolution de la technique depuis le début du 19ème siècle

SAFI

Soutien Aux Femmes Indiennes

SAFI est une association Saint-Aignanaise qui a pour but de faire mieux connaître la vie quotidienne des femmes en Inde et de récolter des fonds qui les aideront dans leur formation, l'éducation de leurs enfants et leur autonomie. Elle apporte une aide aux plus démunis de la société indienne en contribuant à des projets concrets en Inde pour leur permettre de sortir du bidonville et de retrouver le sens de leur humanité : construction d'une école dans un bidonville, scolarisation des enfants, ateliers de confection de petits objets, encadrement de familles.


Sologne Nature Environnement

 


Les autres ateliers photo